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notre histoire

Notre histoire

25 Juin 2013 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #notre histoire

Le 25 juin 1903, naissance de George ORWELL (de son véritable nom Eric BLAIR) à Motihari au Bengale, Inde.
Journaliste et "écrivain politique" anglais, combattant antifranquiste.
George Orwell n'est pas vraiment un anarchiste, sinon un "anarchist tory (conservateur)". S'il figure ici, c'est pour son magnifique livre, "Hommage à la Catalogne libre" (fruit de son expérience espagnole), mais aussi pour ses dénonciations des dangers du totalitarisme : "La ferme des animaux" et "1984".
Après une éducation anglaise, il s'engage en 1922 comme officier de police en Birmanie (colonie anglaise), mais il en démissionne en 1928 pour se consacrer à l'écriture. Sans argent il vit "Dans la dèche à Paris et à Londres", où il exerce divers petits boulots.
Juillet 1936, la révolution espagnole éclate, il se rend alors à Barcelone et dans l'enthousiasme révolutionnaire s'engage dans les milices du POUM. Il prend part aux événements de mai 1937, puis retour sur le front de Huesca où, le 20 mai, une balle lui traverse la gorge. Blessé et dégoûté des trahisons staliniennes, il rentre en Angleterre où il se remet à l'écriture. La guerre voit son engagement dans la garde nationale anglaise, puis il devient speaker à la BBC. En 1943, il est directeur de rédaction du journal "The Tribune" et ensuite envoyé spécial de "The Observer". Atteint de tuberculose il meurt le 21 janvier 1950.
"On était en décembre 1936.(...) J'était venu en Espagne dans l'intention d'écrire quelques articles pour les journaux, mais à peine arrivé je m'engageai dans les milices, car à cette date, et dans cette atmosphère, il paraissait inconcevable de pouvoir agir autrement. Les anarchistes avaient toujours effectivement la haute main sur la Catalogne et la révolution battait encore son plein.(...) C'était bien la première fois dans ma vie que je me trouvais dans une ville où la classe ouvrière avait pris le dessus."
in: Hommage à la Catal
ogne

Source: l'exellent site: epheman.perso.neuf.fr/

George Orwell
(photographié par Vernon Richards)

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Notre histoire

2 Avril 2013 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #notre histoire

       ortiz_anto.jpg

    Antonio Ortiz

   
Le 2 avril 1996, mort d'Antonio ORTIZ RAMIREZ à Barcelone.
Militant anarchiste et anarcho-syndicaliste espagnol, combattant antifranquiste puis antifasciste.
Il naît le 13 avril 1907 dans le quartier de Poble Nou à Barcelone.
Il quitte l'école primaire à 11 ans pour travailler comme menuisier. A quatorze ans (1921), il adhère au syndicat du bois de la CNT. En 1923, il rejoint le groupe affinitaire "Los Solidarios". Après la proclamation de la République (1931), il fait partie du comité syndical du quartier de Poble Nou et, en novembre 1932, est nommé président de "l'Union syndicale du Bois" au moment où éclate une grève importante des menuisiers ébénistes qui durera de novembre 1932 à avril 1933. Durant cette période (janvier 1933) se produit également le mouvement insurrectionnel qui lui vaudra d'être emprisonné avec d'autres grévistes. Il se lie avec Juan Garcia Oliver et rejoint, en 1934, le groupe anarchiste "Nosotros"et coordonne les groupes de défense confédéraux de Barcelone. En 1935, il est de nouveau emprisonné. Durant le premier semestre de 1936, il participe à de nombreux meeting à travers la Catalogne. Les 19 et 20 juillet 1936, à Barcelone, il participe à l'assaut contre les casernes.
Le 24 juillet 36, peu après le départ de la Colonne Durruti, il dirige la deuxième colonne de 800 combattant(e)s "Sur-Ebro" appelée aussi "Colonna Roja y Negra" (Rouge et Noire) qui prend la direction de Caspe sur le Front aragonais et qui libérera une partie de l'Aragon, permettant le développement des collectivités libertaires. En octobre 1936, il participe à la réunion décisive de Bujaraloz qui sera à l'orgine de la création du "Conseil d'Aragon" avec à sa tête Joaquín Ascaso (cousin de Francisco Ascaso).
Après la militarisation des milices (imposée par les communistes), il dirige la 25 ème Division militaire. Mais, accusé d'abus de pouvoir, on lui retire le commandement en septembre 1937 (c'est surtout son opposition aux staliniens qui semble en être la raison). En décembre 1937, il intègre l'Ecole Populaire de l'Etat Major, puis prend la tête de la 24 ème Division à la Seu d'Urgell (Pyrénées catalanes). Mais en juillet 1938, il en est destitué alors que courent des rumeurs de son assassinat par les staliniens. Il passe alors en France avec Joaquín Ascaso et dix autres collaborateurs, fuite qui provoque de virulentes critiques de la part de certains dirigeants de la CNT qui l'accusent de désertion. On tente ensuite de l'empoisonner en France, avec Joaquín Ascaso.

Après la déroute républicaine, il est interné à partir de février 1939 dans les camps de concentration du sud de la France : St Cyprien, Le Vernet, et séjourne aussi à la prison de Collioure. Il est ensuite envoyé dans un camp en Algérie, à Djelfa, dont il sortira en 1942. Il s'enrôle ensuite dans l'armée de libération de De Lattre de Tassigny, et combat dans divers pays d'Afrique. Il sera décoré à plusieurs reprises. Il prend part au débarquement en Provence (le 16 août 1944) et à la Libération du Sud de la France, de la Vallée du Rhône, de l'Alsace et du Territoire de Belfort où il obtiendra une distinction du Général De Gaulle. Il poursuivra ensuite l'offensive anti-nazi en Allemagne sur Karlsruhe et Pforzheim, où il sera blessé et évacué.
Après la Libération, il se fixe à Saverdun, en Ariège, où il crée une scierie. Le 12 septembre 1948, il prend part avec Primitivo Gómez et José Pérez à une tentative de bombardement avec un petit avion de tourisme (modifié), de la tribune officielle que doit occuper Franco, à San Sebastián. Ils sont interceptés par des avions de chasse espagnols, mais parviennent cependant à revenir se poser en France. Après ce dernier baroud d'honneur, Ortiz s'exile en Amérique Latine, Bolivie (1951), Pérou (jusqu'en 1955) et au Vénézuela où, aux côtés des compagnons Joaquín Ascaso, Valeriano Gordo et Martín Terrer, il continue de militer. En 1966, il est secrétaire de la coordination de la CNT vénézuelienne. En 1987, il retourne à Barcelone.
Une biographie, réalisée en 1999 par José M. Márquez et Juan J. Gallardo, retrace la vie de cet anarchiste injustement méconnu : "Ortiz, général sans dieu ni maître".

Voir également le film portant le même titre.   
   ortiz-2.jpg
 
Source, l'exellent site de l' Ephéméride Anarchiste http://epheman.perso.neuf.fr/

 

 

 

 

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Histoire du drapeau noir

1 Avril 2013 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #notre histoire

Ce drapeau noir, emblème fort adopté par les anarchistes

Son apparition consignée remonte en fait à une révolte d'ouvriers terrassiers à Reims début 1831, qui le brandirent en signe de désespoir et de misère.

 

drapeau_noir.jpgPhoto de Tina Modotti

Le 21 novembre 1831, à Lyon, quartier de la Croix Rousse, débute "La révolte des Canuts" (ouvriers de la soie). La ville entre en insurrection après que la garde Nationale eut tué plusieurs ouvriers. Des barricades sont érigées et le drapeau noir fait son apparition avec l'inscription : "Vivre en travaillant ou mourir en combattant".

Le 18 mars 1882, lors d'un meeting salle Favié à Paris, Louise Michel, désirant se dissocier des socialistes autoritaires et parlementaristes, se prononce sans ambiguïté pour l'adoption du "Drapeau noir" par les anarchistes.

"Plus de drapeau rouge, mouillé du sang de nos soldats. J'arborerai le drapeau noir, portant le deuil de nos morts et de nos illusions."

Louise Michel

 

 

  La suite sur: http://www.drapeaunoir.org/

 

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Notre histoire

24 Mars 2013 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #notre histoire

Le 24 mars 1952, mort de Willi JELINEK, au camp de Bautzen (ex-RDA, Allemagne de l'Est).
Militant anarcho-syndicaliste allemand.
Membre de "l'Union Générale des Travailleurs" et collaborateur de l'hebdomadaire "Proletarischer Zeitgeist" édité à Zwickau (Saxe) de 1922 à 1933. En mai 1945, il est un des six rescapés de "l'Union Générale des Travailleurs" de Zwickau (27 autres membres ayant été victimes de la Gestapo). Cette partie de l'Allemagne est alors sous le controle militaire russe (après la victoire de l'armée rouge sur les nazis), Jelinek tente de faire renaître l'organisation en contactant les abonnés du "Zeitgeist" (liste qu'il avait réussi à conserver). Mais les autorités russes s'emploient alors à rassembler sous le nom de "SED" (Parti Socialiste Unifié) les forces de gauches pour en faire un grand parti à leurs bottes. Elu par les ouvriers comme Président du Conseil d'entreprise de l'usine où il travaille, Jelinek est également membre du syndicat FDGB, mais dès lors qu'il s'emploie à dénoncer les manoeuvres des communistes et la dictature du prolétariat "Là où on obéit, il y a des chefs qui commandent", il devient l'ennemi à abattre.
Le 10 novembre 1948, il est arrêté avec sa femme et son gendre, ils seront interrogés sur ses liens avec le compagnon Willy Huppertz de Mulheim (à qui Jelinek avait transmis la liste des abonnés du "Zeitgeist"). Transféré dans l'ancien camp nazi de Sachsenhausen où sont alors internés les opposants au régime communiste, il sera rejoint par de nombreux anarchistes arrêtés fin novembre 1948 et au printemps 1949. Mais en raison de son activité clandestine à l'intérieur du camp (il avait réussi à grouper des compagnons), il est transféré au camp de Bautzen, les conditions y sont très dures et donneront lieu en mars 1950 à des révoltes désespérées. Il parviendra pourtant à faire passer des informations en Allemagne de l'Ouest sur les conditions misérables des milliers de détenus. Le 20 mars 1952, il était pourtant encore en bonne santé lors d'une visite de sa fille, mais il meurt 4 jours plus tard dans des circonstances inconnues.

(Cette biographie est extraite d'un article de Jean Barrué sur "L'anarchisme en Allemagne de l'Est" dans la revue "Iztok" n°2 de septembre 1980, consultable sur le site la-presse-anarchiste (voir liens).
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Collectif Anarchiste de Traduction et de Scannerisation

19 Mars 2013 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #notre histoire

Le Collectif Anarchiste de Traduction et de Scannerisation (CATS) de Caen (et d'ailleurs...) vous annonce aujourd’hui la mise en ligne de 10 traductions, librement téléchargeables et diffusables sur leur site à l’adresse suivante
http://ablogm.com/cats/ .

En voici une brève présentation : - Le mouvement Bannière Noire
– Pologne 1903-1906 :Texte sur Chernoye Znamya (Bannière Noire), un groupe actif dans la ville industrielle de Białystok qui influençait les grèves ouvrières, pratiquait l’action armée anti-tsariste tout en refusant le nationalisme polonais et en défendant l’idée d’une révolution qui soit sociale et pas seulement démocratique bourgeoise.- Les groupes
anarchistes à Lodz

– Pologne 1905-1939 : Panorama des groupes anarchistes actifs dans cette ville, et plus particulièrement des groupes pratiquant la lutte armée anti-tsariste. Instructif sur les diverses origines, la composition et les évolutions du mouvement anar polonais de ces années là.

- Les Groupes de Défense et d’Assistance des Femmes – Italie 1943-1945 : Texte sur la participation, souvent occultée ou minorée, de
cette organisation de femmes, unitaire et de masse, à la résistance antifasciste italienne.

- Institutionnalisation par en bas – Syndicats et mouvements sociaux – Italie
années 70 : Texte sur la manière dont les syndicats italiens ont « chevauché le tigre » des mouvements sociaux autonomes dans les usines et réussi à les canaliser.

- Le futur dans notre dos – Autonomie et mouvements sociaux – Italie années 70 :Texte d’analyse sur ce que fut l’Autonomie italienne. Intéressant et synthétique.- Analyse de l’autonomie italienne : Un entretien avec Sergio Bologna, un des théoriciens de l’opéraisme italien qui revient sur ce que fut l’Autonomie en Italie dans les années 70.

- Le POUM sur le front de Huesca et dans la défense de Madrid : Deux textes sur la participation armée du POUM à la guerre civile espagnole + une traduction du « Décalogue du Milicien du POUM ».

- Fronts calmes dans la guerre civile espagnole : Texte de Michael Seidman sur les situations humaines sur les fronts calmes, coté républicain et franquiste (désertions, troc, fraternisations, escarmouches, dénuement…) qui jette un regard surprenant sur certaines réalités de la guerre civile espagnole.

- Fascistes et police en déroute – La bataille de Cable Street – Londres 1936 : Article sur le contexte et le déroulement de l’énorme manif antifasciste de Cable Street qui empêcha la tenue d’une marche des
Chemises Noires anglaises de Mosley dans des quartiers populaires où vivait une importante population juive.

- Les Diacres pour la Défense et la Justice – Autodéfense
noire dans le Sud des USA – Années 60 : Texte sur une organisation d’autodéfense composée principalement de prolétaires noirs, nées d’une prise de conscience des limites de la non violence affichée par le mouvement des droits civiques face à la campagne de terreur
organisée par le Ku Klux Klan dans les États du Sud profond.

Pas mal de textes, assez longs, restent à traduire en anglais (et aussi un peu en espagnol), on continue donc à en appeler aux bonnes volontés pour prendre en charge certaines traductions. On peut nous contacter à l'adresse mail suivante :

catscaen(a)voila.fr

Les prochaines mises en ligne
de traductions du CATS auront lieu fin juin ou début juillet 2013. Merci aux personnes qui filent des coups de mains pour les traductions. Merci de faire tourner l’information
et de faire connaître notre site et les ressources qu’il contient.

Salutations anarchistes.

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Notre histoire

28 Février 2013 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #notre histoire

kronstadt marinMarin de Kronstadt, dessin de Clifford Harper

Le 28 février 1921, début de la révolte des marins de Kronstadt qui s'insurgent contre le pouvoir des commissaires bolchéviques et contre la pénurie de nourriture et de denrées diverses. Les marins, fers de lance de la révolution russe, se prononcent pour des "Soviets libres", dégagés de la tutelle politique des commissaires. Dès janvier 1921, 5000 marins avaient démissionné du parti communiste. Au mouvement pour de meilleures conditions de vie, se mêleront de fortes aspirations libertaires.
S
ource: http://www.ephemanar.net/ 

 

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Notre histoire

13 Février 2013 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #notre histoire

kropot_cortege-copie-1.jpgFunérailles de Kropotkine
Cercueil et bannières (archives IISG)

Le 13 février 1921, à Moscou. Les funérailles de Pierre KROPOTKINE sont le théâtre de la dernière manifestation de masse des anarchistes en Russie bolchévique. Sous la pression des libertaires, des prisonniers anarchistes sont relâchés pour leur permettre d'assister aux obsèques. Une foule de cent mille personnes suit le cercueil jusqu'au cimetière. Des drapeaux noirs sont déployés, mais aussi des banderoles proclamant : "Où il y a de l'autorité, il n'y a pas de liberté" , ou encore "Les anarchistes demandent à être libérés de la prison du socialisme" ).
Une fois au cimetière, divers orateurs rendent un dernier hommage à l'auteur de "La conquête du pain".
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Tous au Larzac

7 Février 2013 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #notre histoire

                                                         Attac-Besançon vous invite

                      AU FILM-DEBAT : TOUS AU LARZAC

                         L'exemple d'une lutte sociale victorieuse

 

Jeudi 14 février
à 20 h
Au Ciné Plaza Victor Hugo
Besançon
Documentaire: Marizette, Christiane, Pierre, Léon, José… sont quelques uns des acteurs, drôles et émouvants, d’une incroyable lutte, celle des paysans du Larzac contre l’Etat, affrontement du faible contre le fort, qui les a unis dans un combat sans merci pour sauver leurs terres. Un combat déterminé et joyeux, mais parfois aussi éprouvant et périlleux. Tout commence en 1971, lorsque le gouvernement, par la voix de son ministre de la Défense Michel Debré, déclare que le camp militaire du Larzac doit s’étendre. Radicale, la colère se répand comme une trainée de poudre, les paysans se mobilisent et signent un serment : jamais ils ne cèderont leurs terres. Dans le face à face quotidien avec l’armée et les forces de l'ordre, ils déploieront des trésors d’imagination pour faire entendre leur voix. Bientôt des centaines de comités Larzac naitront dans toute la France... Dix ans de résistance, d'intelligence collective et de solidarité, qui les porteront vers la victoire, à comprendre et à analyser pour en tirer des leçons pour les actions d'aujourd'hui et de demain.
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La tête de mort

28 Août 2012 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #notre histoire

tete_de_mort.jpg                   En-tête de ce journal (doc. copie, Cira de Lausanne)

En août 1885, sortie à Saint-Imier (Suisse) du premier numéro de "La Tête de Mort" Journal communiste, anarchiste et révolutionnaire. Un seul numéro connu de cette violente publication qui prône la lutte armée.
Après avoir pensé que cette publication pouvait être l'oeuvre de la police où de provocateurs, il est apparu que c'était en fait un canular, un numéro déguisé du "Cancan jurassien" pour lequel le rédacteur, l'imprimeur et le dépositaire seront condamnés à 5 francs d'amende pour avoir publié le journal anonymement.
Ce n'est donc pas un journal anarchiste, mais cette histoire est révélatrice de la peur que pouvait inspirer l'anarchisme à la bourgeoisie dans ce lieu aussi symbolique que St-Imier.

Source : L’éphéméride anarchiste

Ces éphémérides sont nées de notre volonté de faire découvrir le mouvement anarchiste dans toute sa diversité de pensée et d’action ; de montrer l’importance de son rayonnement, aussi bien philosophique, géographique ou historique, et cela par le biais des individus qui ont fait ou font toujours vivre ce mouvement, qu’ils ou elles soient penseurs, militants, ou simples personnes oeuvrant par leurs écrits, leurs paroles, leur art, leurs actions, à l’émancipation et à l’affranchissement de la tutelle d’un Etat, d’une religion, d’un patron ou d’un maître.

http://www.ephemanar.net/

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Des anarchistes étaient là pour libérer Paris

25 Août 2012 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #notre histoire

nueve.jpgDes anarchistes étaient là pour libérer Paris,

Mobilisons-nous pour le rappeler ! "

http://www.demosphere.eu/node/31369

Douze plaques retracent à Paris le parcours fait, le 24 août 1944, par les combattants de "la Nueve" (en majorité anarchistes), depuis la Porte d'Italie jusqu'à la place de l'Hôtel-de-Ville.
Depuis 2004, ces plaques installées par la mairie leur rendent hommage comme premiers libérateurs de la capitale. Mais il n'y a jamais eu de reconnaissance officielle du gouvernement français.
Cette année, François Hollande assistera, le 25 août, aux actes officiels de la Libération de Paris organisés par la mairie. Une concentration de drapeaux républicains espagnols est prévue à 15 h 30, en face de l'entrée principale de l'hôtel de ville, de l'autre côté de la place, où est installée la dernière plaque.
Des drapeaux noirs et noirs et rouges seraient les bienvenus, avec chansons, fleurs et messages. Question d'affirmer tranquillement et sereinement la présence de ces libertaires dans la libération de Paris.

Groupe FA montreuil

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