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Demain 1er mai

30 Avril 2012 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #groupe Proudhon - FA

            1er mai libertaire

Comme tout les ans le groupe Proudhon de la  Fédération anarchiste,le SCALP et la CNTappellent à manifester le
1er mai.

Rendez vous à 10h00 place de la Révolution.

 

Après la manif Apéro repas place Marulaz

Venez nombreux

 

 

1er mai 2012

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Occupation

30 Avril 2012 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #luttes sociales

Ci-dessous des informations concernant l'occupation par des ouvriers agricoles des terres d'un domaine (finca) de 400 hectares qui appartient au gouvernement d'Andalousie, et fait partie d'un ensemble (20 000 hectares) qu'il a prévu de vendre aux enchères (voir l'article de Ramón Pino dans Le Monde Libertaire n° 1666).

Pour des informations plus complètes :

http://www.lavoiedujaguar.net/Somonte-les-jornaleros-sont

 

A noter que le syndicat SOC-SAT qui est partie prenante de ces actions directes, et qui regroupe plus de 20 000 membres, est considéré comme "illégal" par les "grands" syndicats, UGT et Commissions Ouvrières, car 90 % de ses adhérants sont étrangers, notamment d'Afrique du Centre et du Nord.

Le SOC-SAT appelle à défiler le 1er mai avec la CNT, la CGT et l'USTEA (syndicat andalou d'enseignants et de fonctionnaies) :

Leur site :

http://www.sindicatoandaluz.org/

 

 1) EXPULSION

 Somonte, les jornaleros sont expulsés par la force le 26 avril mais réoccupent la finca dès le lendemain

 À 84 pour cent, les militants régionaux d’Izquierda Unida viennent dapprouver la participation de leur organisation au gouvernement andalou, la Junta de Andalucía, sous la présidence du dirigeant du PSOE José Griñán. Cette participation démarre sur les chapeaux de roues, avec lexpulsion brutale de travailleurs agricoles qui occupaient depuis le 4 mars dernier la Finca Somonte, à Palma del Río, province de Cordoue. Les policiers (Gardes civils et « antiterroristes ») ont frappé à terre Lola Alvarez, porte-parole du SOC (Syndicat des ouvriers de la campagne), et évacué sans ménagement la vingtaine d’occupants qui se trouvaient sur place.

Expropriée (après indemnisation) en 1983 par la Junta de Andalucía, cette terre de 400 hectares allait de nouveau être privatisée. La vente aux enchères devait se faire le 5 mars. Alors que plus de un million d’Andalous sont au chômage, cette action était une réponse superbe de la part des jornaleros, qui démontraient ainsi qu’ils ne voulaient pas vivre daumône, mais de leur travail collectif sur une terre quils connaissent et aiment avec passion.

Suite au communiqué des jornaleros ci-dessous, vous trouverez une proposition de courrier à envoyer au nouveau gouvernement et aux partis qui le composent.

Communiqué envoyé le 26 avril 2012 par les jornaleros
du Syndicat des ouvriers de la campagne (SOC-SAT)
À diffuser !

Brutale expulsion à Somonte
Appel à soutien urgent !!!

Compañeros et compañeras,

Ce matin (du jeudi 26 avril 2012) les forces de la Garde civile sont entrées dans la finca et ont délogé brutalement une vingtaine de compañeros qui dormaient dans la maison.

Une fois encore, comme en 1939 et dans bien d’autres occasions, les forces de répression expulsent les journaliers et les paysans de leur terre, pour la livrer aux gros propriétaires, aux évêques et spéculateurs. Cette fois-ci, c’est le PSOE qui sest mis dans la peau des fascistes, alors quil vient de signer un accord pour continuer à gouverner la Junta dAndalousie avec Izquierda Unida (Gauche unie). Les termes restent les mêmes : largent pour les banques, la terre pour les riches, les restrictions et la répression pour les travailleurs.

Nous appelons à accourir de toute urgence à Somonte, nous résisterons sur la finca, préserverons le travail effectué et continuerons à cultiver la terre pour nous alimenter et vivre dignement.

Merci denvoyer courriers, fax et appels de protestation et dindignation à la presse, à la Junta de Andalucía, au PSOE, à Izquierda Unida et au Partido Comunista (maintenant partenaires de gouvernement).

Le 1er mai, toutes et tous à Somonte !
Résistons, créons, vivons... Somonte pour le peuple !
Aucun pas en arrière !
Tous ensemble nous obtiendrons qu
ils nous laissent en paix !
Vive la révolution agraire !

Pour écrire aux autorités andalouses, si vous ne connaissez pas lespagnol, faites-le en français, ou sinon les mots suivants devraient suffire :

SOLIDARIDAD CON LOS Y LAS JORNALEROS DE SOMONTE
LA TIERRA PARA QUIEN LA TRABAJA
REPUDIO TOTAL A LA REPRESION
VIVA LA REVOLUCION AGRARIA

Merci de mettre en copie les jornaleros : somontepalpueblo(at)gmail.com

José Griñán
Consejería de
la Presidencia
Junta de Andalucía
Av. Roma, S/N
41013 Sevilla Espagne

fax : 955 035 522 (Présidence) ; 955 035 526 (Conseil de la Présidence) ; 955 032 134 (Consejería de Agricultura).
juntadeandalucia.es/presidente/contact
juntadeandalucia.es/organismos/presidente/correo

PSOE Andalucía
San Vicente, nº 37
41002 Sevilla Espagne
fax : 955.550.001
courriel :
info(at)psoeandalucia.com

Izquierda Unida Los Verdes
courriel :
grupo.iulv-ca(at)parlamento-and.es
tél. : 954.592.133
fax : 954.592.134

2) REOCCUPATION

Les journaliers andalous ont réoccupé la finca de Somonte, à Palma del Río (Cordoue), après lexpulsion réalisée hier matin par la Garde civile. Les journaliers y sont retournés à 0 h 30 du matin et quelque cent personnes se trouvent de nouveau à lintérieur.

Après avoir été délogés hier matin par la Garde civile espagnole, quelque cent journaliers ont réoccupé dans la nuit de ce vendredi à laube, la propriété agricole de Somonte, récupérant ainsi pour le peuple ce que le gouvernement de la Communauté dAndalousie veut mettre entre les mains de propriétaires fonciers et/ou de spéculateurs.

Les journaliers, réunis en assemblée après lexpulsion dhier, ont décidé de continuer la lutte et doccuper à nouveau la propriété pendant la nuit, en ayant pu compter pour cela avec lappui solidaire de plusieurs dizaines de compañeros et compañeras arrivés de divers points dAndalousie, et spécialement des villages proches.

Pour linstant, la Garde civile ne sest pas manifestée dans la journée par une présence physique dans le lieu, bien que, comme lont dit certains des présents à Kaosenlared, les policiers se sont montrés dans les alentours, en demandant leurs papiers à ceux qui voulaient rejoindre la propriété pour sincorporer au groupe des journaliers et journalières qui sont déjà là en train d’effectuer leurs tâches, cest-à-dire la culture de la terre et lélevage des animaux.

En sadressant à Kaosenlared, les journaliers assurent quils ne pensent pas abandonner la propriété et que si les autorités veulent les faire partir, elles devront ouvrir à nouveau une procédure judiciaire, et aussi de nouveau appeler la Garde civile pour les déloger. De même, disent-ils, si cela devait se produire, la réponse des journaliers serait une et seulement une : réoccuper dès quils le pourront.

Et ainsi jusquà ce que la terre soit pour ceux qui la travaillent et non pour ceux qui peuvent se la payer à des prix soldés dans une vente par adjudication (enchères) du gouvernement andalou, et ensuite pour ne pas offrir de travail ni produire aucune sorte de richesse dans le secteur avec lesquels il serait possible de faire face aux graves problèmes de chômage que vivent ses habitants.

Somonte ne se rend pas, Somonte est au peuple,

disent les journaliers sur un ton de défi.

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La vraie histoire du 1er mai

29 Avril 2012 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #groupe Proudhon - FA

haymarket_al.jpgLe massacre du Haymarket (1886)

et la vraie histoire du Premier Mai

 

L’origine et la signification libertaires du premier mai sont désormais tombées dans l’oubli. Car le premier mai, c’est bien un événement majeur de l’histoire du mouvement ouvrier, mais plus particulièrement de l’anarchisme que nous commémorons – désormais sans en connaître l’origine.

 

Remontons le temps.

Nous sommes en 1886, à Chicago. Dans cette ville, comme dans tout le pays, le mouvement ouvrier est particulièrement riche, vivant, actif. À Chicago, comme dans bien d’autres municipalités, les anarchistes sont solidement implantés. Des quotidiens libertaires paraissent même dans les différentes langues des communautés immigrées. Le plus célèbre des quotidiens anarchistes de Chicago, le Arbeiter-Zeitung, tire en 1886 à plus de 25 000 exemplaires. Cette année-là, le mouvement ouvrier combat pour la journée de huit heures. Les anarchistes y sont engagés, mais avec leur habituelle lucidité: la journée de huit heures pour aujourd’hui, certes, mais sans perdre de vue que le véritable objectif à atteindre est l’abolition du salariat. Le mot d’ordre de grève générale du premier mai 1886 est abondamment suivi, et tout particulièrement à Chicago. Ce jour-là, August Spies, un militant bien connu de la Ville des Vents, est un des derniers à prendre la parole devant l’imposante foule des manifestants. Au moment où ceux-ci se dispersent, la démonstration, jusque là calme et pacifique, tourne au drame: 200 policiers font irruption et chargent les ouvriers. Il y aura un mort et des dizaines de blessés. Spies file au Arbeiter-Zeitung et rédige un appel à un rassemblement de protestation contre la violence policière. Elle se tient le 4 mai, au Haymarket Square de Chicago.

Cette fois encore, tout se déroule d’abord dans le calme. Spies prend la parole, ainsi que deux autres anarchistes, Albert Parsons et Samuel Fielden. Le maire de Chicago, Carter Harrison, assiste à la manifestation et, alors qu’elle s’achève, il est convaincu que rien ne va se passer. Il en avise donc le chef de police, l’inspecteur John Bonfield, et lui demande de renvoyer chez eux les policiers postés à proximité. Il est dix heures du soir. Il pleut abondamment. Fielden a terminé son discours, le dernier à l’ordre du jour. Les manifestants se dispersent, il n’en reste plus que quelques centaines dans le Haymarket Square. Soudain, 180 policiers surgissent et foncent vers la foule. Fielden proteste. Puis, venue d’on ne sait où, une bombe est lancée sur les policiers. Elle fait un mort et des dizaines de blessés. Les policiers ouvrent le feu sur la foule, tuant on ne saura jamais combien de personnes. Une chasse aux sorcières est lancée dans toute la ville. Les autorités sont furieuses. Il faut des coupables. Sept anarchistes sont arrêtés. Ce sont: August Spies, Samuel Fielden, Adolph Fischer, George Engel, Michael Schwab, Louis Lingg et Oscar Neebe. Un huitième nom s’ajoute quand Albert Parsons se livre à la police, persuadé qu’on ne pourra le condamner à quoi que ce soit puisqu’il est innocent, comme les autres. En fait, seuls trois des huit suspects étaient présents au Haymarket Square le soir de ce 4 mai fatal.

 

Le procès des huit s’ouvre le 21 juin 1886 à la cour criminelle de Cooke County. On ne peut et on ne pourra prouver qu’aucun d’entre eux ait lancé la bombe, ait eu des relations avec le responsable de cet acte ou l’ait même approuvé. D’emblée, une évidence s’impose pour tous: ce procès est moins celui de ces hommes-là que celui du mouvement ouvrier en général et de l’anarchisme en particulier. La sélection du jury tourne à la farce et finit par réunir des gens qui ont en commun leur haine des anarchistes. Y siège même un parent du policier tué. Le juge Gary ne s’y est pas plus trompé que le procureur Julius Grinnel qui déclare, dans ses instructions au jury:  » Il n’y a qu’un pas de la République à l’anarchie. C’est la loi qui subit ici son procès en même temps que l’anarchisme. Ces huit hommes ont été choisis parce qu’ils sont des meneurs. Ils ne sont pas plus coupables que les milliers de personnes qui les suivent. Messieurs du jury: condamnez ces hommes, faites d’eux un exemple, faites-les pendre et vous sauverez nos institutions et notre société. C’est vous qui déciderez si nous allons faire ce pas vers l’anarchie, ou non. »

Le 19 août, tous sont condamnés à mort, à l’exception d’Oscar Neebe qui écope de quinze ans de prison. Le procès a été à ce point ubuesque qu’un vaste mouvement de protestation internationale se déclenche. Il réussit à faire commuer en prison à vie les condamnations à mort de Schwab et Fielden. Lingg, pour sa part, se pend dans sa cellule. Le 11 novembre 1887 Parsons, Engel, Spies et Fischer sont pendus. Ce sont eux que l’histoire évoque en parlant des martyrs du Haymarket. Plus de un demi-million de personnes se pressent à leurs funérailles. C’est pour ne pas oublier cette histoire qu’il sera convenu de faire du premier mai un jour de commémoration. Neebe, Schwab et Fielden seront libérés officiellement le 26 juin 1893, leur innocence étant reconnue ainsi que le fait qu’ils ont été les victimes d’une campagne d’hystérie et d’un procès biaisé et partial. Ce qui reste clair cependant, ce sont les intentions de ceux qui condamnèrent les martyrs de Chicago: briser le mouvement ouvrier et tuer le mouvement anarchiste aux États-Unis. Le jour même où avait été annoncée la condamnation à mort des quatre anarchistes, on avait communiqué aux ouvriers des abattoirs de Chicago qu’à partir du lundi suivant, ils devraient à nouveau travailler dix heures par jour.

Reste une question irrésolue jusqu’à ce jour: qui a lancé cette bombe? De nombreuses hypothèses ont été avancées, à commencer par celle accusant un policier travaillant pour Bonfield..

Extrait de : BAILLARGEON, Normand, L’ordre moins le pouvoir

Source : http://voir.ca/normand-baillargeon/2012/04/29/le-massacre-du-haymarket-1886-et-la-vraie-histoire-du-premier-mai/

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1er Mai libertaire à Besançon

29 Avril 2012 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #groupe Proudhon - FA

1er mai 2012

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1er Mai libertaire

27 Avril 2012 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #groupe Proudhon - FA

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Le Monde Libertaire n°1670

27 Avril 2012 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #groupe Proudhon - FA

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Le Monde Libertaire n°1670 du 26 Avril au 2 Mai 2012

 

« Quand un pauvre entre dans l'isoloir, il me fait penser à un crocodile qui entre dans une maroquinerie. »

Coluche

 

Sommaire

Actualité

Le blues du mouvement social, J.-P. Levaray, page 3

Exploité, non payé, arrêté, Tsinapah, page 4

Prud’hommes dans le viseur, JMarc, page 4

Chronique néphrétique, Rodkol, page 5

Météo syndicale, T. Impétueux, page 6

La police contre la liberté d’expression, FA 86, page 7

Victoire pour les salariés de Louvre Hôtel, CNT, page 8

Psychiatrie, torture et enfermement, P. Schindler, page 9

Expression

Journée avec la majorité silencieuse, M. Rajsfus, page 10

International

Chili: le soulèvement d’Aysén, D. Pinos, page 12

Mexique: Cherán en résistance, G. Goutte, page 14

Corée: sauvons Jeju, R. Burget, page 16

Histoire

Stalinisme et mémoire, Silfax, page 17

Culture

Artémisia Gentileschi, une peintre libre, . Guignat, page 18

Chroniques de la désobéissance, Goutte, page 20

Mouvement

On ne t’oubliera pas, Patrick, FA Evry-Corbeil, page 21

Radio libertaire, 22

Agenda, page 23

 

Editorial

À l’image de la baisse tendancielle du taux de profit, l’élection présidentielle est une obscure bêtise qui, de génération en génération, paralyse le mouvement social, nombre d’entre nous – travailleurs et travailleuses – étant encore persuadés que des urnes naîtra l’émancipation tant rêvée. Et encore… Qui, aujourd’hui, rêve toujours d’émancipation ?

 

Nous ne sommes probablement qu’une petite poignée, bien présente, certes, mais tout de même très réduite. Et le problème semble bien être là. Si nous espérions tous et toutes une autre société, plus juste et plus libre, les élections ne seraient probablement pas un obstacle à l’avènement d’une situation révolutionnaire. C’est un fait, et l’Histoire nous a montré que, ici et là, de par le monde, des peuples sont parvenus à briser leurs chaînes dans des régimes parlementaires.

 

Mais ces peuples étaient conscients. Conscients de leur appartenance à une même classe d’exploités. Conscients de leur puissance dans l’unité. Conscients de leur capacité à réorganiser la société et à jeter les jalons d’un monde nouveau, débarrassé de ces abjectes notions d’exploitation et d’oppression.

 

Alors, aujourd’hui en 2012, dans cette France en période de transe électorale (comme dans le reste de la planète), notre rôle –du moins celui que nous nous donnons – est bien celui de faire émerger dans la société une conscience révolutionnaire, une volonté de changement social, le désir de tout foutre en l’air et de repartir de zéro. Syndicats, organisations spécifiques, collectifs, associations : les outils sont là et il ne reste plus qu’à nous les approprier pour nous organiser et en finir une bonne fois pour toutes avec le capitalisme et l’État. Et bâtir sur leurs ruines fumantes l’anarchie, la libre fédération des travailleurs et travailleuses !

 

 

 

Salon du livre libertaire

Vendredi 11 mai de 14 heures à 21 heures

Samedi 12 mai de 10 heures à 20 heures

Dimanche 13 mai de 10 heures à 16 heures

 

Salon du livre libertaire organisé par la Librairie du Monde libertaire et Radio libertaire. On pourra y rencontrer une centaine d’éditeurs et autant d’auteurs. Au programme également: des débats, des expositions, des lectures, des animations et un pays invité : la Suisse.

Adresse : Espace d’animations des Blancs Manteaux, 48, rue Vieille- du-Temple. L'entrée est à prix libre.

Renseignements: Salon du livre libertaire, 145, rue Amelot, 75011 Paris. Tél. : 0148053408.

Courriel: livrelibertaire2012(a)sfr.fr.

Sur internet : http://salonlivrelibertaire.cybertaria.org

 

Le Monde libertaire, hebdomadaire de la Fédération anarchiste, adhérente à l'Internationale des fédérations anarchistes

Chaque jeudi en kiosque, 24 pages d'actualités en couleurs vues par les anarchistes pour deux euros cinquante

Chaque semaine les groupes de la Fédération Anarchiste diffusent une édition gratuite du Monde Libertaire.

http://www.federation-anarchiste.org

Retrouvez le site web du Monde Libertaire à l' adresse suivante:

http://www.monde-libertaire.fr

 

En vente dans toutes les bonnes librairies et donc à

La librairie associative l’Autodidacte

5, rue Marulaz 25000 Besançon

Vente à la criée le dimanche matin sur le petit marché de Battant

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Vide-greniers de Battant

27 Avril 2012 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #A lautodidacte.org

Dernier rappel :

Le Vide-greniers de Battant
aura lieu
 dimanche 29 avril 
de 9 h à 17 h
dans les rues Marulaz, Thiémanté, de l'école et de Vignier

L'animation musicale sera assurée l'après-midi par Kalarash trio Klezmer

 

La librairie Associative l’autodidacte sera présente

                            avec de nombreux livres


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Dernier jour

27 Avril 2012 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #A lautodidacte.org

Autocollant ?

« Se dit d’une image qui adhère sans être humectée »

 

Ce Vendredi 27 avril jusqu'à 19h00

Besançon (25)

Fin de l'exposition « Quarante ans d'autocollants politiques ».

Salle de l'ancienne Poste, 98, Grande-Rue.

 

Ces sales petits papiers collants sont partout : murs, mobilier urbain, Abribus, couloirs du métro, ils nous harcèlent et ne nous laissent aucun répit. Si la rue est le royaume des signes, l’autocollant en est tout à la fois le troubadour et le bouffon. Son objectif, capter l’attention, nous enrôler.

Pouvons-nous imaginer nos rues sans autocollants ? Nous qui sommes habitués à cette transpiration des murs, ne ressentirions-nous pas un manque, une sensation de vide ? Une ville sans autocollant est une ville morte, sans identité, privée de cette agitation de la pensée.

L’exposition, bâtie autours du livre : La Lutte des signes, vous embarque pour un centre du monde discret, mais captivant, de l’autocollant politique. Celui des grandes organisations, conçu et fabriqué par les directions centrales, mais surtout celui issu de ces myriades de collectifs, de groupes locaux qui donnent une visibilité à la vie citoyenne de nos villes et nos campagnes. Véritable boutons de fièvre d’une activité de fourmis d’où sortent des «objets graphiques» de qualité très inégale.

Cette exposition de 650 « vignettes, papillons, autocollants » a été présentée à la galerie Confluences

(Paris XXè) et à la librairie « les vents m’ont dit » (Pornic). Elle comprend une partie chronologique (de l’affaire Dreyfus à Sarkozy), des interviews de graphistes ayant conçu des autocollants, des parties thématiques : les élections, la guerre, l’antifascisme, le féminisme, les religions… et une analyse des signes politiques : le poing, la faucille et le marteau, le A cerclé, le tournesol, les symboles féministes, etc.

Zvonimir Novak / Wally Rosell

 

 

 

 

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Encore quelques jours

24 Avril 2012 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #A lautodidacte.org

Du Vendredi 20 au Vendredi 27 avril

Besançon (25)

Exposition « Quarante ans d'autocollants politiques ».

Salle de l'ancienne Poste, 98, Grande-Rue.

 
La lutte des signes,
40 ans d’autocollants politiques
autocollant a
autocollant f
autocollant e
ETC...
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Médias en résistance

22 Avril 2012 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #Info (s)

Le CAC (Collectif pour des Alternatives au Capitalisme)  et 
l’association Pour Politis présentent :
 
*MÉDIAS EN RÉSISTANCE*
  
Rôle, place et fonctionnement des médias alternatifs 
Avec la présence de Denis Sieffert,

  
rédacteur en chef de Politis
 
Jeudi 31 mai à 20h, 
Besançon, salle Proudhon (Kursaal)
Participation libre et souhaitée
 
Merci de diffuser dans vos réseaux
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