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Resto trottoir

27 Mars 2015 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #Info (s)

Resto trottoir du 29 mars

Resto trottoir du 29 mars

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Energoi Polites Larissas

26 Mars 2015 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #groupe Proudhon - FA

Repas de soutien suivi de la projection du film « Ne vivons plus comme des esclaves » de Yannis Youlountas au bénéfice du Collectif Citoyens Actifs de Larissa (Grèce)

(Energoi Polites Larissas)

Samedi 11 avril 12h0

MJC Palente 24, rue des roses Besançon

A partir de 5€ (Chèque à l’ordre de :CESL)

Les “Citoyens Actifs de Larissa” est un mouvement ouvert à tous, ne dépend d'aucune autorité politique ou autre et constitue un point de contact entre des citoyens qui, par le bénévolat, visent à:

1) informer, sensibiliser et mobiliser sur les sujets du quotidien et de la qualité de vie ;

2) faire ressortir des questions sous leurs dimensions sociale, économique, écologique et politique.

Le groupe “CA” refuse de s'organiser selon le modèle d'une association ou d'une ONG et ne dispose pas de conseil d'administration. Ses membres sont tous égaux et la répartition des devoirs n'est pas fixe. Le groupe est ouvert à tout citoyen sensibilisé qui souhaiterait participer à ses initiatives et actions.

Le principe fondamental des “CA” est son indépendance de tout parti politique.

Groupe Proudhon de la Fédération Anarchiste

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Soutien à la Grèce

25 Mars 2015 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #groupe Proudhon - FA

Soutien à la Grèce
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Les droits rechargeables.

24 Mars 2015 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #Info (s)

Demain 25 mars à 17 heures vont démarrer les "négociations" sur la convention d'assurance chômage pourrie du 1er octobre 2014, dont la CFDT nous a tant vanté les mérites, avec son "droit nouveau" tout aussi pourri : Les droits rechargeables.


500,000 allocataires, soit un allocataire sur quatre, va voir son allocation réduite, avec cette simple mesure des "droits rechargeables" non épuisables.



Il s'agit maintenant de se bouger les fesses. Le MEDEF nous vole déjà assez comme ça.
Une solution par le haut doit être trouvée : Les recalculés des droits rechargeables doivent TOUS obtenir le droit d'option. Mais ça ne doit pas se faire sur le dos des autres chômeurs : La "solution" proposée par le MEDEF "a budget constant" n'est donc pas une solution.
Et la solution de la CFDT " au cas par cas " est tout autant inacceptable.
Mais on n'obtiendra rien sans rapport de force.
Partout en France, nous devons donc être très nombreux à occuper le plus d'antennes MEDEF possibles.




Message au MEDEF : Si il manque du pognon dans les caisses de l'Unedic, il est temps d'écouter nos propositions, que l'on a fait depuis le début des discussions sur l'assurance chômage, début 2014 :
Imposons une surcôtisation à ceux qui abusent du système, ces patrons qui embauchent à tour de bras en intérim, CDD, temps partiel subi. Ce sont eux qui plombent les comptes de l'Unedic, c'est don à eux de payer pour les dégâts qu'ils causent.

Ce n'est pas aux chômeurs de payer la crise.


Rappel : Nous, les salariés privés d'emploi et précaires ne souhaitons qu'une chose : Occuper un emploi décent à salaire décent, sortir de la précarité et de la pauvreté, et non pas y rester toute notre vie.

OCCUPONS LES BUREAUX DU MEDEF
LE 25 MARS,
JOUR DES NÉGOCIATIONS UNÉDIC
JUSTICE POUR LES RECALCULÉS
DES DROITS RECHARGEABLES
LE RAPPORT DE FORCE
EST INDISPENSABLE
POUR OBTENIR GAIN DE CAUSE
Cliquer ici pour accéder au tract de la CGT sur le sujet


http://www.cgtchomeursrebelles56.blogspot.com/

source: Unedic

source: Unedic

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Des livres pour Rojava !

18 Mars 2015 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #Info (s)

Participez au développement d'une université dans le Kurdistan syrien

Des livres pour Rojava !

Des livres pour Rojava !
Des livres pour Rojava !
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Campagne anarchiste de solidarité internationaliste

17 Mars 2015 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #groupe Proudhon - FA

Campagne anarchiste de solidarité internationaliste

Les Trois Points


Il y a la domination des pays puissants, des structures supra-étatiques, et des gouvernements
locaux. Il y a les conflits intérieurs qui nourrissent un jeu de tensions géopolitiques dans la région de la Méditerranée. Il y les nationalismes qui divisent les opprimés et les conduisent au massacre. Il y a le dérèglement des sociétés locales à travers les interventions militaires, ainsi le
fondamentalisme religieux obscurantiste. Il y a les barreaux de l’oppression forgés par les lois
« antiterroristes », le contrôle policier dans les rues, les prisons, les conditions spéciales de
détention et les camps de concentration des migrants. Il y le monde des maîtres, appuyé sur le
terrorisme dans les lieux de travail et sur la dévalorisation permanente du travail.


Il y a aussi un autre monde parallèle. C'est le monde des résistances. C'est le monde des résistants dans les rues au Sud de l'Europe. C'est le monde du mouvement No TAV du Nord de l’Italie et de Chalkidiki au Nord de la Grèce, ce sont les expressions insurrectionnelles du nouveau courant radical en Turquie, c'est la réalisation de l'autonomie démocratique et de la résistance des régions Kurdes et du Nord de la Syrie. Ce sont les luttes ouvriers autonomes. Ce sont les prisonniers et les combattants sociaux persécutés. Ce sont les révoltés dans les prisons et les camps de concentration.
C'est chaque personne et action collective qui résiste et tente de former les conditions d'une vie
différente dans les rues, dans les quartiers, au boulot, à l'école, à l'université, dans les champs.
C'est le monde parallèle qui peut éviter l'imposition de la barbarie capitaliste et de l'obscurantisme religieux et nationaliste, dans ce carrefour qui s'appelle Méditerranée.

C'est ce monde parallèle qui doit, dès maintenant et d'une manière précise,construire des ponts de communication, de collaboration, de résistance et de solidarité.


C'est pour cette raison que les collectifs et initiatives par des différentes villes de Grèce
commencent une campagne anarchiste de solidarité internationaliste appelée:

LES TROIS PONTS:


1. Pont de solidarité du Sud européen
2. Pont de solidarité de l'arc de l'Est méditerranéen
3. Pont de solidarité de l'arc ba
lkanique


La campagne se déroulera via des actions communes ou autonomes des collectifs et des initiatives qui y participeront du mois de février 2015 jusqu'en octobre 2015.


La date de l'action commune pour la solidarité internationaliste dans les pays d'Europe du Sud est fixée au Samedi 28 Mars.


http://3gefires.org

PS: La FA (Fédération Anarchiste) et l'IFA (Internationale des Fédérations Anarchistes) sont investies dans cette campagne.

http://3gefires.org

http://3gefires.org

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Fukushima : cogérer l’agonie

16 Mars 2015 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #Nucléaire

Texte que Thierry Ribault a lu le 11 mars dans les studios de Radio Libertaire, pendant l'émission spéciale Radio Libertaire - Radio Galère - Radio Zinzine :

A écouter ici

http://trousnoirs-radio-libertaire.org/

Ou à lire ici

Fukushima : cogérer l’agonie


En ce 11 mars 2015, quatre ans après l’inachevable désastre nucléaire de Fukushima,
on peut, bien entendu, établir un bilan officiel : 87 enfants atteints d’un cancer de la
thyroïde, 23 autres suspectés de l’être, 120.000 « réfugiés », 50.000 liquidateurs mobilisés
au seuil sacrificiel dûment relevé, des piscines remplies de combustibles prêtes à nous
exploser au nez, des rejets massifs et réguliers d’eau contaminée dans l’océan, pas moins de
30 millions de m3 de déchets radioactifs à stocker pour l’éternité.
Ce bilan existe. Nous vous y renvoyons.


L’État fait des habitants de Fukushima des cogestionnaires du désastre


Une fois ce « bilan » dressé, une fois les victimes et les inquiétudes considérées avec
respect, il s’agit de tirer les conclusions qui s’imposent. L’une d’entre elles est la suivante :
au fur et à mesure que se mettait en place l’aide fournie par des groupes citoyens, des ONG,
des structures plus ou moins indépendantes, l’État faisait des habitants de Fukushima,
indéniablement et sous couvert de « participation citoyenne », des cogestionnaires du
désastre. On pourra nous opposer que cet élan civique a relevé de la spontanéité, voire de
l’amour du prochain, que l’État n’a donné aucun ordre allant dans ce sens, que chacun était,
et reste, libre de « s’engager » dans de tels mouvements, certes ! Cependant, beaucoup des
hommes et des femmes qui l’ont fait, même si c’est inconsciemment, ont fait le jeu de l’État.
Voilà ce que nous avons constaté.

La plupart de ses groupes citoyens, ces ONG, ces structures plus ou moins
indépendantes ont appelé les habitants à s’équiper de dosimètres, les ont aidé à s’en
procurer ou à s’en fabriquer sur le mode do‐it‐yourself, les ont assistés dans la tâche
pharaonique d’une impossible décontamination, ont réuni des fonds aux sommes parfois
colossales pour acheter des équipements permettant d’effectuer des
anthropogammamétries, y ont fait asseoir leurs congénères pour leur asséner des chiffres
dont ils ne savaient que faire, ont élaboré des cartes des retombées radioactives au mètre
près, ont ouvert des dispensaires dédiés à l’évaluation des doses reçues et au suivi sanitaire
des populations. Ces « initiatives citoyennes » ont visé à rendre compte d’une réalité dont
les protagonistes estimaient qu’elle était niée par les autorités. Ce faisant, plutôt que de les
mener à « sauver leur vie », autrement dit prendre leurs jambes à leur cou (comme l’ont fait
certaines structures, dans le Yamanashi par exemple, aidant les gens à refaire leur vie
ailleurs), la plupart d’entre elles ont aidé les gens à rester sur place, ce qui a fait le jeu d’un
État qui n’avait d’autre objectif, dès le début des évènements, que de maintenir les
populations en place. Ce faisant, plutôt que de remettre en question la thanato‐politique de
folles sociétés humaines bâtiFukushima : cogérer l’agonienger et le gouvernement par la mort, ces structures ont appris aux gens à vivre avec, attendu que les dosimètres créeraient le miracle.
De Tchernobyl à Fukushima, la cogestion a fait faire un bond qualitatif à
l’administration du désastre : travaillant à la grande inversion du désastre en remède, elle a
porté à un degré de perfection jamais atteint jusqu’à présent la responsabilisation de chacun
dans sa propre destruction et la nationalisation du peuple qui la fonde.

Groupes indépendants… intégrés


Prenons deux exemples qui montrent comment, un jour ou l’autre, ces structures
plus ou moins indépendantes l’ont été de moins en moins et se sont, avec plus ou moins
d’état d’âme, ralliées aux structures étatiques.


Premier exemple : Ethos, programme développé en Biélorussie dans les années 1990
pour « améliorer les conditions de vie dans les zones contaminées », soutenu par la
commission européenne, dont le leader était notamment directeur du CEPN, Centre
d'études sur l'évaluation de la protection dans le domaine nucléaire, association financée
par EDF, le CEA, la Cogema et l’IRSN. Un clone de ce programme, Ethos in Fukushima, est né
au Japon six mois après le 11 mars 2011, à l’initiative d’une ONG locale visant à soutenir le
moral des troupes contaminées à travers des réunions d’information où sont prônées
l'entraide entre les habitants et des mesures illusoires de protection contre la radioactivité.
Le mot d’ordre de l’ONG, dont la foi, logiquement, renverse les montagnes, est : « Malgré
tout, vivre ici, c'est merveilleux, et nous pouvons transmettre un avenir meilleur ». L’élève
ayant rapidement dépassé le maître, cette initiative a fait l’objet d’une prise en main de la
Commission Internationale de Protection Radiologique (CIPR), qui a mené à la mise en place
de « Dialogues ». Ces séminaires participatifs ont alors rassemblé des élus, des experts
scientifiques et des groupes de citoyens soucieux de « revitaliser » les zones contaminées
qui en avaient bien besoin, afin d’inculquer une « culture pratique radiologique » et d’aider
chacun à « optimiser les doses ».


Deuxième exemple : Safecast, « réseau global de capteurs qui recueille et partage
des mesures de radiation afin d’habiliter les gens à gérer la situation grâce à des données
relatives à leur environnement. » Suite à leur participation à une conférence de l’AIEA en
février 2014 à Vienne, le leader de Safecast définit ses membres comme « des hackers, mais
pas de ceux qui dévalisent les banques (sic), de ceux qui sont les moteurs de l’innovation »,
et montre clairement le cap, considérant « avoir modifié avec succès les présupposés
qu’avait l’AIEA par rapport à ce que les groupes indépendants sont capables de faire (…) afin
de fournir des sources alternatives d’information », se déclarant avec une fierté affligeante
« certain que cela fera son chemin dans la prochaine révision des directives de réponse au
désastre que prépare l’AIEA.» La déléguée norvégienne à l’AIEA, qui a saisi tout l’intérêt des
« capteurs citoyens », a immédiatement vu en Safecast « des gens créatifs et innovants qui
développent des solutions efficaces par eux‐mêmes, et en cas d’accident dans votre propre
pays, vous serez bien contents d’avoir des gens comme eux. En fait, vous devriez même, dès
maintenant, chercher des gens comme eux »1.


Se félicitant de ce que cette déclaration ait été suivie d’applaudissements, les
responsables faussement naïfs de Safecast précisent : « Le consensus dans la salle a tourné
(…), la CIPR nous a proposé de trouver des financements, le ministère de l’énergie américain
veut intégrer nos inputs dans leur nouveau système d’information d’urgence, l’IRSN veut
que nous les aidions dans un de leurs projets, la Commission de régulation nucléaire discute
avec nous pour voir comment faire au mieux pour intégrer la mesure citoyenne dans leurs
plans de catastrophe ».


1 http://blog.safecast.org/2014/02/safecasting‐the‐iaea/

Les « capteurs‐citoyens » de Fukushima : des citoyens captifs


La cogestion des dégâts fonde le consensus : saluée par tous au nom de la nécessité à
dépasser la situation, elle est irréversiblement souhaitée et s’inscrit dans une stratégie
fondée sur cet art d’accommoder les restes qu’est la résilience. Approche prisée des
pronucléaires, elle s’intègre également, pour nombre d’antinucléaires, à une mise en oeuvre
de la participation citoyenne qu’ils appellent ‐ ne reculant devant aucun paradoxe ‐ de tous
leurs voeux, achoppant alors de manière redoutable devant la remise en cause du recours à
l’énergie nucléaire censée fonder leur lutte, et de la société industrielle qui rend ce recours
indispensable. Au final, l’objet de la cogestion, au nom de la démocratie, est l’État lui‐même.
En faisant de chacun un contre‐expert qu’il faut éduquer, informer, équiper, pour faire de lui
un mesureur performant, pour qu’il se soumette par avance à l’autorité scientifique qui
édictera les nouvelles normes nécessaires au bon fonctionnement de la machine sociale, la
cogestion s’affiche pour ce qu’elle est : l’art de répandre des métastases étatiques, pour
reprendre la limpide formule de Jaime Semprun et de René Riesel.


Certains sociologues du gyrophare, qui ne manquent jamais une occasion de louer les
« lanceurs d’alerte », ont persisté à vanter les mérites des « réseaux de capteurscitoyens
qui participent à la construction d’une intelligence collective instrumentée
et confèrent une capacité active aux citoyens pour interpréter leur environnement, le capter
et le mesurer et in fine agir sur lui »2. De la sorte, les alertologues se sont refusés à voir la
réalité de ce devant quoi ils s’ébahissaient : bien des « capteurs‐citoyens » de Fukushima
étaient bel et bien devenus des citoyens captifs.


Cogérer, consentir, obéir


Cogérer les dégâts du désastre nucléaire aide à franchir la distance qui séparait le
terrible de l’acquiescement au terrible. Cogérer les dégâts du désastre nucléaire amène à
prendre part au dispositif permettant de consentir à la contamination, à apprendre aux
hommes à vivre dans de mauvaises conditions d’existence et à faire pénétrer celle‐ci dans la
culture de masse. Cogérer les dégâts du désastre nucléaire, c’est s’inscrire dans le paradigme
de l’ordre, non dans celui de la transformation. C’est accompagner l’agonie au quotidien des
corps et celle, aussi grave, des esprits et de leur éventuelle pensée contraire. Passé maître
dans l’art de mépriser ses adversaires que sont les individus conscients d’eux‐mêmes, l’État
cogéré, désiré par tous, n’a plus que de faux ennemis dans la main desquels il a su glisser la
sienne. L’identification à celui que l’on craint joue ici d’autant plus fortement que la
cogestion tend vers l’autogestion, qui est au désastre nucléaire ce que l’autocritique fût au
stalinisme : une technique d’intériorisation de la culpabilité et, ce faisant, de la domination,
car la cogestion est une congestion de la liberté et du refus d’en être privé. Il s’agit alors de
se trouver une cause commune pour éviter de s’affronter à son propre sauvetage par le
refus. Or les causes communes abondent à Fukushima : tirer partie d’une expérience unique,
apprendre à faire face au prochain désastre, restaurer la communauté, redynamiser les


2 http://socioargu.hypotheses.org/4505

forces économiques, faire renaître l’emploi des jeunes, inciter les populations à un « retour
au pays natal »… Des menaces de non remboursement des frais de santé aux coupons de
réduction pour les touristes, du redéveloppement de l’industrie des loisirs (stades de
baseball, musées) à la construction de supérettes avec terrasses « plus conviviales »... à
Fukushima, nul doute : l’inventivité morbide fait fureur.


Assurément, en prétendant sauver d’un côté ce que l’on détruit de l’autre, on ne fait
que répéter l’obéissance au pouvoi
r.


11 mars 2015
Nadine et Thierry Ribault


Auteurs de

Les sanctuaires de l’abîme – Chronique du désastre de Fukushima,
Éditions de l'Encyclopédie des Nuisances, Paris,

PS:

À noter que Thierry nous a dit qu'il a été refusé par l'Obs car "trop long", Rue89 car "trop austère", Libération car "pas assez Charlie" (qui est leur priorité en ce moment).

Il est vrai que la phrase "Cogérer les dégâts du désastre nucléaire, c’est s’inscrire dans le paradigme de l’ordre, non dans celui de la transformation (…) on ne fait que répéter l'obéissance au pouvoir" peut s'appliquer aux attitudes face à bien d'autres graves dégâts du capitalisme et viser notamment la plupart des médias…

Fukushima : cogérer l’agonie
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Succès

11 Mars 2015 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #groupe Proudhon - FA

Suite au succès de l'exposition

"Histoire mondiale de l'anarchie"

salle de l'ancienne poste à Besançon.

Celle ci est prolongée samedi 14 mars

de 14h00 à 19h00

Succès
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A écouter sur radio libertaire

9 Mars 2015 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #groupe Proudhon - FA, #Nucléaire

Le mercredi 11 Mars 2015, cela fera 4 ans que la catastrophe de Fukushima s'est produite, à l'occasion Radio libertaire consacrera sa programmation à l'écologie et l’anti-nucléaire.

Camille, groupe JB Botul, mandat programmation RL

Fukushima, 4 ans après la catastrophe nucléaire

12h-14h30 : Un caillou dans l'engrenage

Une émission consacrée à l'enfance :

Radio trottoir Fukushima, ça te dit quoi ?

Court rappel avec quelques infos récentes

Les enfants de Fukushima : qu’en est-il ?

Fukushima et l’énergie dans l’édition jeunesse

L’énergie sur internet pour les enfants

14h30-14h45 : Présentation de l'après-midi et de la soirée

14h45-16h55 : Rediffusion de l'émission Trous Noirs du 29 avril 2013 : Michaël Ferrier, dans « Fukushima, Récit d'un désastre » montre comment se met en place une énorme entreprise de domestication pour y faire accepter une « demi-vie ».

17h-20h : Emission en duplex avec Radio Zinzine ( 105.0 FM à Manosque, 95.6 FM à Digne-les-Bains, 103.0 FM à Sisteron, 100.7 FM à Forcalquier, 106.3 FM à Gap, 101.4 FM à Briançon ) et Radio Galère (88.4 FM à Marseille) à écouter en direct.

Ce 11 Mars 2015, trois radios animeront et diffuseront ensemble une émission spéciale sur la catastrophe de Fukushima, ses conséquences sanitaires, sociales et politiques. Nous nous interrogerons sur la poursuite de l'industrie nucléaire dans le monde, nullement freinée par les catastrophes successives : comment le nucléaire constitue un outil de soumission et pourquoi il ne nous est plus possible d'accepter encore notre "condition nucléaire".

Les intervenants :

- Cécile Asanuma-Brice, chercheur en sociologie urbaine, vit et travaille à Tokyo

- Jean-Jacques Delfour, philosophe, auteur de "La condition nucléaire"

- Roland Desbordes, président de la CRIIRAD

- Yves Lenoir, président de l'association "Les enfants de Tchernobyl Belarus"

- Thierry Ribault, chercheur au CNRS, co-auteur de "Les sanctuaires de l'abîme"

20h30-22h30 : Interview avec Stéphane Lhomme, militant anti-nucléaire, fondateur de l'Observatoire du nucléaire.

22h30-00h : Traffic

- "Ringono", une association japonaise offrant des pommes et des documents d’information contre la contamination interne aux enfants vivant dans les zones polluées suite à l’accident de Fukushima-Daiichi. Festival Ringono le 14 mars à Confluences.
Au même programme, mais dans un autre contexte :
- "Enfances nomades", une fiction qui raconte trois histoires d'enfants nomades au Tibet, en Mongolie et dans le nord de la Sibérie, avec le réalisateur Christophe Boula et Emilie Maj (BOREALIA Films). Sortie sur les écrans le 25 mars.

www.federation-anarchiste.org

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"histoire mondiale de l'anarchie"

7 Mars 2015 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #groupe Proudhon - FA

"histoire mondiale de l'anarchie"

Suite à un problème de transport l'exposition

"Histoire mondiale de l'anarchie"

ainsi que le vernissage

sont reportées au lundi

9 mars 2015

avec toutes nos excuses.

Ouverture de l'expo: 14h00

vernissage: 18h00

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