Ce soir dans le cadre de la RL
Dans le cadre de la rentrée libertaire
Mercredi 21 septembre 2016 à 20h30
Table ronde sur le sexisme
Débat organisé par la CNT
Place Marulaz
Besançon Solidarité Réfugié
STOP-EXPULSIONS
MANIFESTATION LE 21 SEPTEMBRE
RENVERSONS L’IMPOSSIBLE !
Mercredi 21 septembre à 17h30
départ place Pasteur
Qui peut encore se satisfaire d'un monde dans lequel ont été rendues
possibles ces deux derniers mois, dans notre seul département,
toutes ces expulsions ?
• 3 petites filles (de 5 à 8 ans) au Kosovo, abandonnant leur
scolarité
• 4 enfants ( de 6 à 15 ans) au Kosovo séparés de leur mère
hospitalisée à Besançon
• une petite fille géorgienne (12ans), handicapée dont le suivi ne
sera plus correctement exercé
• 2 enfants de 2 et 5 ans et leurs parents alors qu'ils étaient
hébergés dans une famille et ne coûtaient rien à l'État français.
Qui peut accepter que des familles relevant du dispositif de
demandeur d'asile soient laissées à la rue à Besançon, dont une
personne sans soin souffrant de graves problèmes neurologiques,
alors qu'il est obligatoire de proposer un logement, ce que ne fait pas
la préfecture ?
La préfecture a fait comprendre qu'elle va continuer et même
multiplier les expulsions dans les mois qui viennent.
Nous appelons celles et ceux qui ne supportent plus que la possibilité
de vie des uns soit aussi l'impossibilité de vie des autres,
à venir MANIFESTER
mercredi 21 septembre à 17h30
départ place Pasteur
Il faut rendre impossible de rendre des vies impossibles.
RENVERSONS L'IMPOSSIBLE ! NOUS VOULONS LE
RETOUR DES FAMILLES EXPULSÉES.
Signataires : AC ! Agir contre le chômage et la précarité – CCFD Terre Solidaire -
CDDLE/RESF25 - Citoyennes et citoyens engagé-e-s auprès des familles - EELV -
ENSEMBLE - Espoir et Fraternité Tsiganes de Franche-Comté - FCPE - Fédération
anarchiste de Besançon - FSU - ICO - LDH - Mouvement de la Paix - MRAP - PCF -
Parti de Gauche - SUD Santé Sociaux - UL CGT - Union syndicale Solidaires...
Rentrée libertaire
Dans le cadre de la rentrée libertaire 2016
Débat proposé par le groupe Proudhon de la fédération anarchiste
Vendredi 23 septembre à 20h00 à la librairie l'Autodidacte
"Affinités non-électives" avec René Berthier
René Berthier, Affinités non électives :
A propos du livre d’Olivier Besancenot et Michaël Löwy, Pour un dialogue sans langue de bois entre libertaires et marxistes. Une coédition Les éditions du monde libertaire et Les éditions libertaires, novembre 2015
Les opinions peut-être parfois sévères émises dans le présent ouvrage contre Affinités électives, le livre d’Olivier Besancenot et de Michaël Lôwy, ne doivent pas évacuer le constat que leur livre ouvre peut-être un débat nécessaire, non pas tant avec une ou des organisations marxistes, mais avec des camarades de lutte qui sont, qu’on le veuille ou non, nos cousins germains dans le mouvement ouvrier.
Dans la situation présente, c’est peu dire que les cousins ont intérêt à débattre pour voir ce qu’ils peuvent faire ensemble.
Une société libertaire est une société fonctionnant de manière libertaire, non une société peuplée exclusivement de libertaires « pur jus ». il vaut mieux allumer une seule et minuscule bougie que de maudire sans fin l’obscurité.
Il reste que si un jour un débat de fond, sans langue de bois, devait s’engager entre marxistes et libertaires, il ne saurait être question de s’entendre dire : « Kronstadt ? Ah, oui, c’était une erreur… »
Besançon Solidarité Réfugié
STOP-EXPULSIONS
MANIFESTATION LE 21 SEPTEMBRE
RENVERSONS L’IMPOSSIBLE !
Mercredi 21 septembre à 17h30
départ place Pasteur
Qui peut encore se satisfaire d'un monde dans lequel ont été rendues
possibles ces deux derniers mois, dans notre seul département,
toutes ces expulsions ?
• 3 petites filles (de 5 à 8 ans) au Kosovo, abandonnant leur
scolarité
• 4 enfants ( de 6 à 15 ans) au Kosovo séparés de leur mère
hospitalisée à Besançon
• une petite fille géorgienne (12ans), handicapée dont le suivi ne
sera plus correctement exercé
• 2 enfants de 2 et 5 ans et leurs parents alors qu'ils étaient
hébergés dans une famille et ne coûtaient rien à l'État français.
Qui peut accepter que des familles relevant du dispositif de
demandeur d'asile soient laissées à la rue à Besançon, dont une
personne sans soin souffrant de graves problèmes neurologiques,
alors qu'il est obligatoire de proposer un logement, ce que ne fait pas
la préfecture ?
La préfecture a fait comprendre qu'elle va continuer et même
multiplier les expulsions dans les mois qui viennent.
Nous appelons celles et ceux qui ne supportent plus que la possibilité
de vie des uns soit aussi l'impossibilité de vie des autres,
à venir MANIFESTER
mercredi 21 septembre à 17h30
départ place Pasteur
Il faut rendre impossible de rendre des vies impossibles.
RENVERSONS L'IMPOSSIBLE ! NOUS VOULONS LE
RETOUR DES FAMILLES EXPULSÉES.
Signataires : AC ! Agir contre le chômage et la précarité – CCFD Terre Solidaire -
CDDLE/RESF25 - Citoyennes et citoyens engagé-e-s auprès des familles - EELV -
ENSEMBLE - Espoir et Fraternité Tsiganes de Franche-Comté - FCPE - Fédération
anarchiste de Besançon - FSU - ICO - LDH - Mouvement de la Paix - MRAP - PCF -
Parti de Gauche - SUD Santé Sociaux - UL CGT - Union syndicale Solidaires...
Projets Center Parcs: Appel
APPEL À RASSEMBLEMENT
Réunion élus/Pierre & Vacances :
Ils veulent accélérer les projets de Center Parcs ?
Mettons-leur des bâtons dans les roues !
Rendez-vous : Jeudi 22 septembre à 15h
devant le Conseil départemental du Jura
17 rue Rouget de Lisle à Lons-le-Saunier
Ce jour-là, les représentants des départements du Jura et de Saône-et-Loire, de la Région et de l'État se retrouvent à Lons avec le groupe Pierre & Vacances afin d'accélérer la mise en œuvre des projets de Center Parcs à Poligny et au Rousset. Ce rendez-vous fait suite à la rencontre du 1er mars à Mâcon, sollicitée par des élus impatients et prêts à se livrer à une danse du ventre pathétique afin d'attirer la soit-disant poule aux œufs d'or.
En effet, il faut redire que Center Parcs vend d'abord des produits virtuels (de défiscalisation) et que ces opérations spéculatives ont des conséquences bien réelles : marchandisation et bétonnage du territoire, siphonnage de ressources en eau déjà fragilisées, création d'emplois de larbins, massification du tourisme, usage privatif d'espaces jusque là publics et gratuits, etc.
Une démocratie en toc
Avant même les conclusions des « études complémentaires » menées cet été, une première constatation s'impose : la population n'a pas son mot à dire concernant l'accès à l'eau du territoire qu'elle habite. Ce sujet crucial semble circonscrit aux salons des Conseils départementaux et réservé aux élus et bétonneurs.
On notera que la question de l'eau a d'ailleurs été éludée par la Commission du Débat public, pourtant censée aborder tous les enjeux importants liés à un tel projet. Fallait-il s'assurer que la population soit mise hors jeu avant de confier les expertises aux seuls commanditaires du projet ?
Selon le président du Conseil départemental du Jura s'adressant à l’assemblée générale de la Chambre de commerce et d'industrie : « Rien ne s’oppose à la venue de Center Parcs si ce n’est des manifestants professionnels. Nous avons lancé les études nécessaires. Nous arriverons à amener les 500 m³ d’eau quotidiens nécessaire au fonctionnement des infrastructures. Notre discours est suffisamment rassurant pour les porteurs de projet. » ('Le Progrès' du 15/07/2016)
On voit bien où mène la logique du développement économique qui conduit un Clément Pernot à choisir de « rassurer » les aménageurs et dans leur sillage les patrons du BTP plutôt que les habitants de « son » territoire, sur un sujet aussi crucial … que l'eau.Le capitalisme c'est : Circulez, y a rien à boire !
Un projet dévastateur
Saurons-nous jamais le coût des expertises payées par les Départements – plus prompts à donner les chiffres des sommes « économisées » sur le dos de la solidarité sociale, qu'à dévoiler le prix de l'assistanat dont bénéficie le système Pierre & Vacances - Center Parcs ?
Enfin, quelle que soit la formule imaginée et le choix du syndicat des eaux susceptible de la mettre en œuvre, le pillage de la ressource en eau n'est jamais légitime et traduit bien l'état de dépossession et de mépris dans lesquels nous maintiennent élus et aménageurs.
Et pour en finir avec ces études, peut nous importe qu'on accède au désastre par la gauche ou par la droite, comment le montage de la société d'économie mixte sera négocié, ni quelles retombées économiques il faudrait espérer : Center Parcs, on n'en veut pas !
Une résistance bien vivante
Face à leurs délires de « Tourisme structurant » (comme on dit au Conseil régional), une opposition multiforme et joyeuse a pris corps et se renforce : rassemblement à Poligny suite au Débat public, assemblées ouvertes des opposants à Center Parcs dans le Jura (/contact : assembleecontrecenterparc@lists.riseup.net/), coordination des sites en lutte « Center Parcs : ni ici, ni ailleurs ! », petit théâtre des nuisances d'un futur complexe de loisirs sur le marché, espaces et outils d'information et de débat, journée festive de résistance à CP « Sous les pavés, la plage » en forêt de Poligny, etc.
Amplifions la résistance et retrouvons-nous
Jeudi 22 septembre à 15h
devant le Conseil départemental du Jura
17 rue Rouget de Lisle à Lons-le-Saunier
Collectif jurassien d'opposant-e-s à Center Parcs
Le 15 septembre et après?
Le 15 septembre et après : on n'a pas d'autres choix que de lutter !
Sans surprise, le gouvernement a fait adopter, via un troisième 49.3, la « loi travail » au cœur de l'été.
Quelques initiatives pour lutter contre cette loi ont perduré durant l'été à travers l'hexagone. Mais le 15 septembre est la première date nationale de mobilisation appelée par l'intersyndicale. Chant du cygne de la lutte ou reprise d'une mobilisation inédite de plusieurs mois, l'enjeu est de taille.
Aussi nous devons nous emparer de cette date pour en faire une réussite, en étant dans la grève et en manifestant.
Car au-delà de la loi travail, la période électorale qui s'ouvre s'annonce nauséabonde et nécessite plus que jamais de déserter les urnes et d'investir le terrain social : les horribles attentats de l'été ont libéré toujours plus les discours racistes et en particulier islamophobes. Ils ont permis à l’État de justifier la prolongation d'un état d'urgence qui devient permanent.
Nul doute que les primaires de droite et de gauche puis la campagne présidentielle en elle-même vont aggraver cette tendance lourde.
D'autre part, les candidats à une énième alternative à gauche ne vont pas manquer de tenter de semer trouble et division parmi les actrices et acteurs du mouvement social que nous connaissons. Et ce, malgré les échecs patents de Syriza en Grèce et de Podemos en Espagne, qui ont montré l'impossibilité de s'attaquer aux ravages du capitalisme par la prise de pouvoir, tout en asséchant les mouvements sociaux sur lesquels ils ont surfé.
Ainsi, nous affirmons qu'il est indispensable de rester sur le terrain de la contestation sociale, ce 15 septembre et ensuite.
Parce que la « loi travail » organise une régression sociale d'ampleur, en s'attaquant au code du travail et à de nombreux acquis sociaux, et en précarisant toujours davantage les travailleurs-euses. Elle remet notamment en cause le principe de hiérarchie des normes et le principe de faveur (1), soumettant les salarié-e-s à tous les chantages patronaux.
Parce que la lutte des classes et la solidarité de classe sont les meilleurs antidotes aux discours réactionnaires, liberticides et racistes qui divisent les exploité-e-s.
Parce que nous ne devons pas légitimer à travers les élections, un système représentatif que nous subissons et qui ne nous offre que l'austérité comme perspective.
Nous affirmons au contraire la nécessité de rompre avec l’État, le capitalisme, le patriarcat et les systèmes d'oppressions racistes, à travers un processus révolutionnaire.
Diffusons aujourd’hui au sein des luttes les pratiques autogestionnaires, de démocratie directe et de fédéralisme, pour demain faire fonctionner la société sur une base égalitaire et libertaire.
CGA
1-Un accord trouvé au sein d'une entreprise pourra être moins favorable aux salarié-e-s et l'emporter sur une disposition du code du travail, par exemple.
LIEUX ET HORAIRES DES MANIFESTATIONS dans la région
BESANCON : 11 h parking Battant
MONTBELIARD : 14 h Champ de Foire
LONS LE SAUNIER : 15 h Place de la Liberté
DOLE : 10 h 30 Sous Préfecture
ST CLAUDE : 10 h 30 Sous Préfecture
VESOUL : 17 h 30 rassemblement place de la République et distribution de tracts au marché le matin
BELFORT : 10 h Maison du Peuple
Cherchez les drapeaux noirs
TOUS ENSEMBLE LE 15 SEPTEMBRE,
DANS LES MANIFESTATIONS, GRÈVES ET ACTIONS,...
Infos loi travail: